Aurélia a intégré le Centre INRAE de Toulouse en 2014 en tant que soigneur animalier. Elle a rejoint l'équipe en janvier 2024.

Sylvie a intégré le Centre INRAE de Toulouse en 2005 en tant que technicienne en chimie analytique. Par son expérience, elle possède un savoir-faire dans le domaine de la quantification de substances xénobiotiques ou endogènes (mise au point et validation de méthodes) par des techniques de chromatographie liquide couplée à la détection UV, Fluo ou spectrométrie de masse. Elle est également impliquée dans des missions d'intérêt collectif (cellule qualité, déléguée du personnel, membre du conseil d'unité et membre du conseil administration de l'ADAS). Sylvie a rejoint l'équipe en 2017.

Sophie a rejoint l’équipe en janvier 2016. Après un doctorat en biochimie végétale et un post-doctorat à la BASF (Allemagne), Sophie a été recrutée à INRAE en 1995. Ses activités de recherche étaient centrées sur les glutathion transférases et le devenir chimique des pesticides et plus largement des contaminants organiques chez les plantes. Depuis 2016, ses travaux se réorientent sur l’étude de la voie de biosynthèse de la patuline et de sa régulation.

Après un diplôme d’ingénieur en Biotechnologie (INSA Toulouse, 1986) et un doctorat en physiologie cellulaire (Université de Toulouse, 1989), Thierry Gauthier a d’abord travaillé comme chercheur dans un start-up française développant des immunosuppresseurs. Il a rejoint INRAE en 1993 au sein du service de valorisation économique puis en tant qu’adjoint au chef du département Santé Animale pour les questions de partenariat avec l’Industrie. Depuis 2009, Il est ingénieur de recherche au sein de TOXALIM où il a conduit des études de toxicologie relatives à des mycotoxines, des fongicides et le 4-hydroxynonénal (produit d’oxydation des lipides alimentaires) selon des approches in vitro. Ses travaux ont porté sur la compréhension des mécanismes de toxicité au niveau cellulaire et moléculaire. Depuis janvier 2022, il fait partie de l'équipe « Biosynthèse et Toxicité des Mycotoxines » où il est impliqué dans l'étude de la réponse cellulaire suite à des expositions à des mycotoxines.

Philippe a d’abord travaillé au CEA puis a été recruté à INRAE en 1993 au Laboratoire de Génétique Cellulaire avant de rejoindre l’unité en 2001. Il contribue au développement des outils d’analyse des effets des contaminants alimentaires et à celui des approches expérimentales sur animaux, des modèles de culture cellulaire et d’explants intestinaux utilisés dans l’équipe. Il conduit un sujet de recherches sur les effets des mycotoxines sur le tissu intestinal qui a constitué le sujet de son doctorat obtenu en 2012 à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes.

Laura a obtenu son diplôme (2005) et son doctorat (2010) en médecine vétérinaire à l'Université de Murcie en Espagne. Elle a effectué plusieurs séjours postdoctoraux en Espagne (Université de Murcie), en Belgique (KU Leuven) et en France (INRAE-Val de Loire, site de Tours) avant de rejoindre l'équipe en 2016. Ses principaux intérêts scientifiques sont l'étude de la physiopathologie intestinale porcine, le développement de nouvelles techniques de diagnostic vétérinaire et l'utilisation de la protéomique appliquée en sciences animales.

Isabelle Oswald a animé l’équipe BioToMyc de 2002 à 2021 et a été Directrice de l'unité Toxalim de 2019 à 2023. Elle s’intéresse aux effets des mycotoxines sur le porc en analysant les effets de ces toxines sur la réponse immunitaire et sur la fonction de barrière intestinale. Isabelle Oswald est expert à l’ANSES (Comité Résidus et Contaminants Chimiques et Physiques contaminant), à l’ILSI (International Life Sciences Institute), et à l’EFSA (groupes de travail « détoxifcation des mycotoxines » et « toxines de Fusarium »). Elle participe à plusieurs comités éditoriaux (Veterinary Immunology and Immunopathology, Journal of Animal Sciences, The Open Veterinary Science Journal et ISRN Veterinary Science).

Olivier anime l'équipe depuis le 1er septembre 2021. Recruté en 1998 comme ingénieur de recherche, Olivier a initié plusieurs thématiques liées à la toxinogenèse dont notamment l’étude génétique de la biosynthèse de la patuline qui a fait l’objet de son doctorat en 2007. Outre un volet moléculaire, il a développé des méthodologies de marquage de mycotoxines par des isotopes stables. Par la même occasion, il a acquis un savoir faire dans la production, la purification et la caractérisation de métabolites spécialisés d’origine fongique.